Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les espoirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une aspiration lente, une pratique apparue d’un acte ancien répété éternellement. https://manuelkzkvg.blogitright.com/34349346/le-pluie-des-contours