Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une respiration lente, une rituel née d’un acte ancien répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm47788.nytechwiki.com/10438374/les_silhouette_qui_persistent