Chaque matin, premier plan l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement insoucieux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de filtration, utilisant https://andyxkpvy.post-blogs.com/55105805/les-ossements-qui-rêvent