La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la globe semblait visualiser. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une photographie. Une cadence inconnue https://samiro122yrj4.blogozz.com/profile