L’aube s’étendait délicatement sur Venise, projetant une date pâle par les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la limpidité, de la même façon qu'un puits sans fond. La délicieux vénitienne restait figée devant le support lisse du cristal, son regard verrouillé sur la https://klausd035oqr9.izrablog.com/34371511/les-silences-postérieur-le-verre