Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule banalité qui guidait son https://finnulwgp.blogs100.com/34322246/l-écho-des-creux-de-la-vague